Remise de la Stratégie Nationale de la Culture Scientifique Technique et Industrielle CSTI

Dominique Gilot, sénatrice du Val d'Oise, présidente du Comité National de la CSTI, a remis la Stratégie nationale de la Culture Scientifique Technique et Industrielle à Audrey Azoulay, ministre de la Culture et de la Communication et à Thierry Mandon, secrétaire d'Etat chargé de l'Enseignement supérieur et de la Recherche. L'événement s'est déroulé au Palais de la découverte le jeudi 9 mars 2017. Bruno Maquart, membre du Conseil National de la Culture Scientifique, Technique et Industrielle, a accueilli les participants par un discours.

La Stratégie Nationale de la Culture Scientifique Technique et Industrielle inscrit la science dans la société

 

Conçue pour 5 ans, la stratégie nationale de culture scientifique, technique et industrielle (S.N.C.S.T.I.) est intégrée au Livre Blanc de l’Enseignement supérieur et de la Recherche et sera évaluée tous les deux ans par le Parlement. Son objectif : éclairer les citoyen(ne)s et leur donner les moyens de renforcer leur curiosité, leur ouverture d’esprit et leur esprit critique.

La stratégie nationale de CSTI sera une colonne vertébrale pour les actions de CSTI sur le territoire et un point de ralliement de tous les acteurs autour de grandes priorités nationales.C’est aussi un lieu d’articulation entre les politiques régionales et la politique de l’Etat.

Le Conseil National de la Culture Scientifique, Technique et Industrielle, en charge de l’élaboration de la Stratégie Nationale de la Culture Scientifique, Technique et Industrielle, a choisi de travailler sur des thématiques transversales: l’Égalité femmes /hommes, le changement climatique et le développement durable,  l’Europe et l’histoire des sciences et des techniques. La stratégie, qui repose sur les principes de bien commun, de qualité, d’appropriation et de subsidiarité répond à des enjeux sociétaux majeurs. Un enjeu culturel, pour conforter notre culture commune et créer du lien. Un enjeu démocratique, pour éclairer le débat public et les choix politiques. Un enjeu éducatif, pour former les jeunes citoyen(ne)s. Un enjeu social enfin, pour favoriser les facteurs d’inclusion.